Paris, le 4 décembre 2024 – Le marché français des semiconducteurs s’est contracté de 11% au troisième trimestre par rapport au trimestre précédent, à 486 M€, selon ACSIEL Alliance Electronique. En glissement annuel, le marché est en recul de 19% (comparé au troisième trimestre 2023). L’indice du marché français en moyenne annuelle glissante décline depuis cinq trimestres (voir graphique ci-dessous).

Le premier facteur ayant contribué à la baisse du marché est la distribution, avec une chute de 27% d’un trimestre sur l’autre (soit -36% en glissement annuel). Le canal de la distribution qui représentait 39% du marché total au deuxième trimestre ne pèse que 32% au troisième.

Pour leur part, les ventes directes ont été quasiment stables (-0,6%, à 332 M€). On observe cependant de grandes disparités au sein des segments. Les ventes au segment industriel ont chuté de 47% de sorte que leur part des ventes directes est passée de 29% à 16% d’un trimestre à l’autre. En revanche, l’ensemble des autres segments a bénéficié d’une croissance de 19%. La principale contribution à cette croissance est venue du secteur automobile (+16%). Le secteur Défense/Aéronautique/Spatial a rebondi avec +33% après deux trimestres négatifs, tout comme la Smart card (+11%). Pour ce qui est des ventes directes par familles de produits, le rebond des circuits analogiques (+32%) et des microcontrôleurs et microprocesseurs (+10%) a nettement tiré le marché vers le haut. A l’inverse, les circuits logiques MOS ont connu, avec -18%, leur troisième trimestre consécutif de forte baisse.

Dans ce marché qui reste globalement orienté à la baisse, des tendances positives se dégagent. On observe une embellie sur le segment automobile qui enregistre son niveau de facturations le plus élevé depuis le record historique du premier trimestre 2023. La Smart card montre sa résilience. Le secteur Défense/Aéronautique/Spatial confirme sa bonne dynamique, il est d’ailleurs le seul à connaître une croissance en glissement annuel sur le cumul des trois premiers trimestres (+7%). Alors que l’informatique représente une faible part du marché français, celui-ci est néanmoins en mesure de bénéficier de la croissance des « data centers » au niveau de la gestion d’énergie.

Si le marché français est encore pénalisé par des corrections d’inventaires, elles sont sur le point d’arriver à leur terme. Le segment industriel a été le principal contributeur à la baisse du marché au troisième trimestre et cela explique pour une bonne part la contre-performance des ventes de la distribution dont l’industriel représente plus des deux tiers, selon Acsiel. Parmi les secteurs multiples qui composent l’industriel, il est possible d’identifier des causes de faiblesse de la demande en France, tels que le marasme dans le bâtiment ou le retard dans l’installation des bornes de recharge pour véhicules électriques. Plus largement, la concurrence chinoise face à nos clients sur les produits finis (énergie, équipements industriels) se fait de plus en plus pressante, ainsi que sur certains composants électroniques.

On peut aussi imputer le ralentissement du marché français à l’attentisme dû au contexte politique et économique qui conduit à retarder certains projets. Dans le même temps, l’industrie du semiconducteur a consenti d’énormes investissements pour mieux répondre à la demande, ce qui permet d’ores et déjà une baisse des délais de livraison et la met en position favorable pour réagir au redémarrage du marché.

 

Evolution par trimestre du marché français depuis 2010, en indice, en moyenne mobile annuelle – Source ACSIEL

 

 

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A propos d’ACSIEL Alliance Electronique

ACSIEL Alliance Électronique est l’organisation professionnelle de l’électronique, regroupant l’ensemble des acteurs alimentant la chaîne de valeur amont de l’électronique en France de la formation à la R&D et jusqu’à la maintenance des produits électroniques tout au long de leur cycle de vie, en associant tous les types d’acteurs, de la PME aux grands groupes et aux laboratoires. Son positionnement est celui d’une organisation qui parle aux donneurs d’ordres et aux institutionnels, qui échange avec tous les acteurs de l’écosystème, qui crée et promeut les conditions du développement de l’activité, des métiers et des emplois. ACSIEL Alliance Électronique compte 120 adhérents pour 100 000 emplois directs et induits générant sur le territoire un chiffre d’affaires supérieur à 8 milliards d’euros.

L’Alliance rassemble les acteurs des composants, des systèmes, du test et de la mesure électronique, des équipements, des consommables et des services pour l’industrie électronique.

 


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Sandrine BEAUFILS
Déléguée générale
Tél. : +33 (0)6 85 65 95 52
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Paris, le 9 décembre 2024 – Le baromètre de l’électronique ACSIEL Alliance Electronique agrège depuis 2017 les ventes trimestrielles de la filière électronique en France.

 

Deux indices composent ce baromètre :

  • l’un indique les ventes liées aux composants électroniques (semiconducteurs, passifs, circuits imprimés, connectique) et consommables (crèmes à braser, flux, accessoires) destinés à l’industrie
  • l’autre se réfère aux les ventes liées aux équipements de test et mesures électroniques, équipements de production de cartes électroniques.

 

Le Collège Equipements & Services et Test & Mesures d’#Acsiel vient de finaliser le baromètre du 3e trimestre 2024.

 

  • Composants et consommables électroniques*

Analyse

L’indice Acsiel des composants électroniques (semiconducteurs, passifs, circuits imprimés, connecteurs) et consommables a reculé de 9% au troisième trimestre 2024 par rapport au trimestre précédent, soit une baisse de 14% en glissement annuel.

Tous les éléments de cet indice composite ont subi une baisse : semiconducteurs, passifs, connecteurs, circuits imprimés et consommables de l’industrie électronique.

Le marché des semiconducteurs, qui pèse le plus lourd dans l’indice, a reculé de 11% au troisième trimestre principalement du fait de la forte baisse des ventes au segment industriel, que ce soit les ventes directes ou à travers le canal de la distribution. En revanche, les autres segments ont connu une croissance solide, notamment l’automobile, le secteur aéronautique/spatial/défense et la Smart card.

Des corrections d’inventaires ont encore contribué à freiner le marché mais celles-ci arrivent à leur terme et cela se reflète dans le raccourcissement des délais de livraison. Les industriels ont massivement investi depuis deux ans et sont ainsi prêts à répondre au retour de la croissance.

Les marchés de composants en France sont directement ou indirectement exposés au marasme dans le bâtiment et à la concurrence chinoise que subit le client final sur certains produits industriels et dans l’automobile. Le marché de l’aérospatiale est en déclin structurel en raison de la concurrence de SpaceX. En revanche, les carnets de commandes sont bien garnis dans le secteur de la défense offrant des perspectives favorables pour 2025, et dans l’aéronautique l’horizon semble dégagé pour dix ans au moins.

Enfin, il faut être conscient que les incertitudes politiques et économiques actuelles ont un impact négatif, contribuant à retarder certains projets ou à mettre en pause des investissements.

 

  • Equipements de test et mesures, machines de production*

 

Analyse

Au troisième trimestre 2024, l’indice Acsiel des biens d’investissement pour l’industrie électronique a subi une rechute avec une baisse séquentielle de 25%, faisant suite à une croissance de 23% au deuxième trimestre. La croissance en glissement annuel qui était montée à +12% au deuxième trimestre est retombée à +1% au troisième.

Cependant, rien ne permet encore d’interpréter cette baisse comme un retournement conjoncturel pour plusieurs raisons :

  • Des fluctuations trimestrielles d’une amplitude importante sont habituelles dans ces biens d’équipement (comme le montre notre graphique),
  • Selon la saisonnalité, le troisième trimestre est le plus souvent négatif,
  • Les investissements ne se déroulent pas selon un flux régulier mais plutôt par vagues successives en fonction de l’exécution d’un budget combinée avec la réalisation des projets,
  • Le manque de visibilité dû aux incertitudes nées de la situation politique n’a certainement pas été favorable aux investissements au cours de l’été.

 

Il faut attendre les résultats du quatrième trimestre et peut-être jusqu’aux premiers mois de 2025 pour différencier ce qui relèverait purement de la saisonnalité ou d’une tendance plus profonde, et pour juger de l’évolution de certains projets.

Il est encore trop tôt en particulier pour évaluer l’impact des difficultés de l’industrie automobile européenne. En revanche, les secteurs de la défense et de l’aéronautiques restent très porteurs avec des perspectives à moyen et long terme.

 

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L’Alliance rassemble les acteurs des composants, des systèmes, du test et de la mesure électronique, des équipements, des consommables et des services pour l’industrie électronique.

 


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SEMAINE DE L’INDUSTRIE

LA FILIERE ELECTRONIQUE FRANCAISE AU COEUR DE L’INNOVATION :

UN SECTEUR ATTRACTIF POUR LES TALENTS


Une filière stratégique et essentielle

Les puces électroniques sont invisibles mais présentes partout. Elles jouent un rôle fondamental en apportant des solutions technologiques clés notamment pour l’émergence d’innovations en matière de réduction des émissions de carbone ou d’économies d’énergie.
Transversale et incontournable pour réussir la révolution numérique et la transition énergétique, la filière électronique française constitue le véritable socle industriel d’un monde toujours plus intelligent et connecté. Elle se place au cœur de la dynamique industrielle française et représente un vecteur important de la compétitivité de l’industrie. Elle constitue par ailleurs une des clefs de voute de la souveraineté stratégique et économique nationale, permettant de contribuer à notre indépendance technologique.

La fabrication en France des solutions électroniques (composants, circuits imprimés et connecteurs) assure la résilience des chaînes de valeurs d’une grande partie des secteurs économiques (automobile, aéronautique, applications industrielles, électronique grand public, objets connectés, télécommunication, électroménager) y compris des secteurs stratégiques et souverains (médical, spatial, communications sensibles).

Terreau d’un écosystème dynamique et innovant dans lequel coopèrent industriels, académiques et scientifiques, la France compte parmi les grandes puissances de la microélectronique. La filière électronique française se distingue par son dynamisme et ses innovations qui la rendent essentielle et stratégique pour relever les grands défis sociétaux de digitalisation et de décarbonation.

Forte d’un chiffre d’affaires de 18 milliards d’euros en 2023 et d’une présence marquée à l’international, la filière électronique française s’impose comme un acteur mondial. Pionnière d’une innovation qui dépasse les frontières, elle emploie directement 80 000 personnes et totalise 170 000 emplois indirects.


Une filière au cœur des innovations

Dans un contexte géostratégique complexe, et pour sécuriser l’approvisionnement des filières industrielles et stratégiques, l’Union européenne et la France ont décidé de renforcer leur position dans la filière électronique au travers du Chips Act européen et du plan France 2030. Affirmant son engagement à relever les défis globaux tout en réinventant constamment ses processus et solutions pour rester à la pointe de l’innovation et de la technologie, la filière électronique française est pleinement mobilisée pour contribuer à ces ambitions.

L’industrie électronique évolue vers des solutions plus intelligentes, compactes et économes en énergie, répondant aux enjeux sociétaux et environnementaux actuels et ces innovations écologiques sont au cœur de l’engagement de la filière pour un avenir responsable proposant des solutions qui favorisent l’automatisation, l’électrification et une gestion optimisée des ressources.

En s’engageant résolument dans l’innovation durable et en anticipant les besoins de demain, la filière électronique française façonne un futur où technologies et responsabilité vont de pair, au service d’un monde plus intelligent, connecté et respectueux de l’environnement.


Recrutement dynamique et perspectives de carrière passionnantes

Avec 8 000 chercheurs et 18 000 postes à pourvoir sur trois années (étude Kyu 2021), sans compter les nombreux postes en alternance et en stages, la filière électronique française est un secteur en pleine expansion qui offre de nombreuses opportunités. Acteur majeur de l’innovation, ce secteur représente un environnement stimulant pour les talents en quête de défis.

Des investissements constants dans la formation et le développement des compétences soutiennent cette croissance, favorisant l’attraction de professionnels qualifiés et l’incubation de start-ups prometteuses. L’industrie électronique se distingue par un cadre où l’innovation est constante et où les carrières peuvent s’épanouir à travers une multitude de projets passionnants


Rejoignez la filière électronique dans cette aventure technologique

À l’occasion de la Semaine de l’Industrie, la filière électronique française propose d’explorer les perspectives passionnantes qu’offre ce secteur clé. L’industrie électronique s’appuie sur une grande diversité de métiers tels que : technicien(ne), ingénieur(e) en développement hard, routeur CAO, assistant(e) ingénieur(e), maquettiste, méthodiste, développeur de solutions de tests, opérateur(trice) de production, opérateur salle blanche, conducteur(trice) de ligne automatisée CMS, technicien(ne) de production, technicien(ne) contrôle qualité, acheteur(teuse) en composants électroniques.


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Sandrine BEAUFILS
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CP Baromètre #ACSIEL 03072024

 

CP Baromètre #ACSIEL 03072024

 

Paris, le 3 juillet 2024 – Le baromètre de l’électronique #ACSIEL Alliance Electronique agrège depuis 2017 les ventes trimestrielles de la filière électronique en France.

 

Deux indices composent ce baromètre :

  • l’un indique les ventes liées aux composants électroniques (semiconducteurs, passifs, circuits imprimés, connectique) et consommables (crèmes à braser, flux, accessoires) destinés à l’industrie
  • l’autre se réfère aux les ventes liées aux équipements de test et mesures électroniques, équipements de production de cartes électroniques.

 

Le Collège Equipements & Services et Test & Mesures d’#Acsiel vient de finaliser le baromètre du 1er trimestre 2024.

 

  • Composants et consommables électroniques*

Indice-COMPOSANTS-ET-CONSOMMABLES-ELECTRONIQUES-T1-2024-600x491

Analyse

L’indice Acsiel des composants électroniques (semi-conducteurs, passifs, circuits imprimés, connecteurs) et consommables a reculé de 4% au premier trimestre 2024 par rapport au trimestre précédent, soit une baisse de 13% en glissement annuel. Ce sont principalement les semiconducteurs, les composants passifs et les connecteurs qui ont tiré l’indice vers le bas alors que les autres produits ont connu une évolution positive. L’indice reste malgré tout à un niveau élevé, comparable à celui des deuxième et troisième trimestres 2022 et du troisième trimestre 2023.
La dynamique des ventes de semiconducteurs en France a été affectée par une baisse au niveau de la distribution et un repli purement conjoncturel dans le secteur aéronautique/spatial/défense (après trois trimestres de forte croissance). Cependant, les perspectives dans ce secteur restent très positives pour tous les composants électroniques, et pour beaucoup d’acteurs le problème est plutôt de livrer les quantités demandées.

On relève encore des stocks excédentaires de composants dans la distribution, chez les EMS ainsi que dans différents secteurs industriels.

La mauvaise conjoncture dans le bâtiment et notamment dans le résidentiel a aussi un impact négatif, en particulier pour la domotique. Certains acteurs confirment ressentir une tendance au ralentissement dans l’automobile malgré la croissance de l’électrique, avec des développements sur de nouveaux modèles mais qui ne se traduisent pas encore en gros volumes, et alors que la demande est actuellement plutôt orientée sur des petits modèles à moteur thermique, d’où un contenu plus faible en électronique. Enfin, la concurrence chinoise est vive pour nos clients dans les équipements automobiles et le solaire.

D’une manière générale, le fléchissement du marché des composants et consommables est attesté et si une reprise est envisagée d’ici la fin de l’année, elle pourrait être en partie contrariée par le report des baisses de taux et les surplus chinois qui continuent d’affecter la demande.

Nos industriels sont confrontés à la hausse des prix des matières premières (cuivre, étain, or…). Malgré cela, dans les passifs ils sont parfois contraints baisser leurs prix et leurs marges pour faire tourner les usines.

Les difficultés d’embauche restent une préoccupation de premier plan et concerne tous les types de profil en production : techniciens, opérateurs et ingénieurs.

 

  • Equipements de test et mesures, machines de production*

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Analyse

Au premier trimestre 2024, l’indice Acsiel des biens d’investissement pour l’industrie électronique a subi une forte baisse séquentielle (-30%) faisant suite à une croissance hors-normes au quatrième trimestre (+56%). En conséquence, l’évolution en glissement annuel est repassée en négatif (-17%).

Comme il était prévisible, le marché a subi au premier trimestre le contrecoup de la forte vague d’investissements de la fin 2023, certains ayant été réalisés en avance de phase. Plus généralement, les entreprises constatent une frilosité du marché depuis le début de 2024. Les cycles de vente sont plus longs et on note une hésitation chez certains clients qui génère de l’attentisme chez les fournisseurs.

Après une très bonne année 2023, l’automobile (notamment test de batterie, électrification du parc, ADAS) et l’aéronautique/défense (y compris la R&D) continuent d’afficher une bonne santé. Le secteur du nucléaire est bien orienté mais cela joue sur le temps long. En télécom par contre, la fin du cycle d’investissement des opérateurs de téléphonie mobile a été atteinte et le déploiement de la fibre en France est quasiment achevé. En revanche, l’intelligence artificielle a un impact positif sur les réseaux car il faut faire transiter d’énormes quantités de données.

Les sociétés qui se sont repositionnées sur des marchés porteurs, notamment par croissance externe, sont en situation favorable.

La formation des talents reste un sujet prégnant. Les carnets de commande sont remplis pour les formations de courte durée. Dans l’éducation, des efforts importants sont consentis pour équiper les établissements techniques concernés par la réforme CIEL (sections Bac Pro et BTS électroniques). Par contre, on note une réduction des dépenses pour les autres secteurs de l’éducation ainsi que dans la recherche. Or les fabricants et importateurs de machines, comme dans les composants, sont confrontés à des difficultés de recrutement récurrentes.

 

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ACSIEL Alliance Électronique est l’organisation professionnelle de l’électronique, regroupant l’ensemble des acteurs alimentant la chaîne de valeur amont de l’électronique en France de la formation à la R&D et jusqu’à la maintenance des produits électroniques tout au long de leur cycle de vie, en associant tous les types d’acteurs, de la PME aux grands groupes et aux laboratoires. Son positionnement est celui d’une organisation qui parle aux donneurs d’ordres et aux institutionnels, qui échange avec tous les acteurs de l’écosystème, qui crée et promeut les conditions du développement de l’activité, des métiers et des emplois. ACSIEL Alliance Électronique compte 120 adhérents pour 100 000 emplois directs et induits générant sur le territoire un chiffre d’affaires supérieur à 8 milliards d’euros.

L’Alliance rassemble les acteurs des composants, des systèmes, du test et de la mesure électronique, des équipements, des consommables et des services pour l’industrie électronique.

 


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CP-SNESE-3072024 - Réélection Eric Burnotte

 

Paris, le 3 juillet 2024 : Selon les statuts du syndicat, l’Assemblée Générale Ordinaire qui s’est tenue le 20 juin à Paris, a désigné son Comité Directeur pour un nouveau mandat de 2 ans.
C’est lors de la réunion inaugurant ce comité nouvellement élu, que la désignation du Président et des Vice-Présidents, constituants le Bureau de l’organisation, a été validée.

Cinq Vice-Présidents ont été élus à l’unanimité autour d’Eric Burnotte, candidat à sa réélection de Président, pour l’assister sur les sujets qui lui tiennent à cœur. Outre la fonction de VP Trésorier qui revient à Jean-Bernard Buisson, les sujets de travail des prochains mois pour les autres élus ne manquent pas : formation, compétences-emplois, attractivité des métiers, projet d’alliance renforcée des acteurs de la filière électronique, évolution règlementaire, décarbonation des entreprises, etc.

Voici l’équipe qui a l’habitude de se réunir une fois par mois, soit en présentiel, soit en visioconférence, et qui indique qu’il est toujours possible pour d’autres membres adhérents de venir la rejoindre.

 

Nouveau Bureau SNESE 200262024

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